Je m’extasie devant la beauté des choses

Je m’extasie devant la beauté des choses

Je m’extasie devant la beauté des choses,
Elle éveille ma sensibilité particulière
Par le parfum envoûtant des belles roses
Qui me fait oublier les guerres meurtrières

Que déclenchent les monstres du siècle
Et cautionnent les savants par le silence
De mort ; je crois fermement au miracle
De l’amour universel et de la clémence

Ineffable du ciel ; En dehors de la vérité
Je renie toute puissance, je défie l’univers
De continuer à lutter contre les inégalités
Sans craindre les manipulateurs pervers

Ou trouver la voie de la sagesse extrême
Dans l’indifférence ; je ne suis ni ange,
Ni diable cornu, ni un législateur suprême
Qui aime toujours adresser des louanges

Aux exploits des morts, mais un rêveur
Émotif qui aime l’humanité entière sans
Lire sur les visages les présages de malheur
Et de bonheur ou ignorer le feu naissant

Qu’allument les tyrans sanguinaires
Par les étincelles d’implosions internes
Provoquées dans les régions frontalières
Pour confiner les gens dans les cavernes.

Dad Allaoua